lundi, septembre 20, 2004

20 euros pour envoyer Wanadoo se faire foutre !

Un ami raleur m'envoie ca ce WE :

"Suite à un problème d’accès à mes pages web proposées par wanadoo, j’ai envoyé plusieurs mails au service technique, au service clientèle et faute de réponse j’ai même tenté le service parrainage. Mes tentatives de contacts demeurant vaines, j’ai pris la décision d’appeler la " hot line " de wanadoo résigné à payer 0,34 euro la minute. En guise de techniciens, wanadoo dispose d’interlocuteurs incompétents et ignorant même les rudiments du web : des standardistes !

J’ai dû appelé quatre fois en l’espace d’un mois pour le même problème qui n’a jamais été résolu ; je n’ai jamais pu avoir accès à l’édition de mes pages web depuis. A chaque appel, 15 minutes par appel, j’ai eu à faire à une personne différente mais tout aussi incompétente que les autres concluant, après de vaines manipulations sur son clavier, qu’ils allaient résoudre le problème.

Mon quatrième appel fut décisif ; après 15 minutes de dialogue inutile, le pseudo technicien m’a dit : " De toute façon, nous ici, on ne peut rien faire pour votre problème car on ne s’occupe pas des pages perso " . Je lui ai fait répéter pour être bien sûr d’avoir bien entendu et, m’étant assuré de sa sincérité, je l’ai envoyé se faire foutre !

C’est quand même dingue qu’il ait fallu que je dépense 4 x 15 x 0,34 euro, soit environ 20 euros pour apprendre que personne sur la hot line de wanadoo n’était habilitée à me dépanner !

Comble du sort, les mails que je leur envoie me reviennent depuis quelques jours. Je suis persuadé qu’ils m’ont mis sur leur liste d’expéditeurs bloqués !"

Courage amigo : la fin du monopole de FT c'est en Decembre, ca risque de leur faire tout drole hehe

mercredi, septembre 08, 2004

Le cerveau de Patrick Le Lay

Suite à sa malheureuse déclaration, le PDG de TF1 rectifie le tir :

"Patrick Le Lay qualifie sa déclaration sur Coca-Cola de "caricaturale"

Patrick Le Lay, Pdg de TF1, s'explique sur sa formule selon laquelle
le métier de sa chaîne est de vendre à Coca-Cola "du temps de
cerveau humain disponible", estimant que cette formule
"était un peu caricaturale", dans un entretien à Télérama à
paraître aujourd'hui. A la question de savoir s'il avait bien tenu
ces propos, il répond : "oui, sûrement. Je reconnais que cette
formule était un peu caricaturale et étroite. Mais, encore une fois,
c'était une conversation et j'ai l'habitude de forcer le trait pour
faire comprendre les concepts". "Le métier de TF1, c'est
l'information et le programme. Nous sommes une grande chaîne populaire
et familiale dont l'objectif est de plaire à un maximum d'audience.
(...)En réalité, que vendons-nous réellement à nos clients ? Du temps
d'antenne", ajoute-t-il."

Ah ben oui là tout de suite on sent la difference :)

http://www.toutsurlacom.com/index.php?op=modload&file=pages&page=nl/2004-09-08tcwn&them=3

mardi, septembre 07, 2004

La Staniloplante débarque !

Il y a kkes temps on m'envoie une depeche que j'ai eut bcp de mal à prendre au serieux :

Une plante toxique géante cultivée par Staline attaque la Russie (MAGAZINE)


Par Marina LAPENKOVA


ISTRA (Russie), 9 août (AFP) - Enfants aux lèvres brûlées par ses tiges imprudemment transformées en sarbacanes, jeunes beautés au visage couvert de cloques après s'être éventées avec ses feuilles, amoureux pleins d'ampoules après un rendez-vous à son ombre: une plante toxique géante, le borchtchevik, s'est échappée des champs russes et elle attaque la population.

Heracleum Sosnowski pour les savants, sous-espèce plus toxique du Heracleum mantegazzianum (Berce du Caucase), est une herbe pernicieuse qui se propage en Europe avec une rapidité inquiétante. Elle est omniprésente près d'Istra, à 50 km au nord-ouest de Moscou.

Des régiments de ses ombelles blanches longent les routes, assaillent les villages et font irruption jusque dans les cours des maisons.

"Il y a encore cinq ans, nous avions deux ou trois victimes chaque été. Cette année, on arrive déjà à 5 ou 6 personnes par semaine", raconte Elena Svirkina, chef du département dermatologique de la clinique d'Istra.

A 14 ans, Ania savait bien que les immenses "parasols" poussant aux bords de la rivière Kolokolenka étaient dangereux. Par curiosité, elle a effleuré une tige avec sa jambe mouillée. Une heure plus tard, souffrant d'une forte brûlure, elle a couru à l'hôpital.

Mais la plupart des patients du docteur Svirkina ignorent que tout contact de la peau nue, surtout humide, avec le borchtchevik, provoque, après exposition au soleil, des brûlures graves, voire mortelles.

Atteignant parfois quatre mètres de hauteur, le borchtchevik dont la croissance peut atteindre jusqu'à neuf centimètres par jour et qui survit à moins 40°, est originaire du Caucase, et n'a été ni "importé d'Amérique du Sud", ni "semé par des agents secrets ennemis", comme le veulent certaines légendes populaires.

C'est Staline qui ordonne en 1947 de le cultiver massivement comme fourrage riche en protéines et devant assurer un rendement record.

La campagne pour sa culture n'atteint son apogée que dans les années 1970, de Leningrad (aujourd'hui Saint-Pétersbourg) à la Sibérie et au-delà du cercle polaire, sans oublier les Pays Baltes et la Pologne. Cette dernière réussit à refuser l'innovation.

"En 1972, juste après la campagne de plantations massives du maïs, Moscou nous a imposé le borchtchevik Sosnowski, une culture inoffensive pour le bétail, mais pas pour les hommes", se souvient Vitali Goudkov, expert du département de l'agriculture de la région de Vologda (Nord), l'une des plus touchées par "l'invasion".

"Augmenter le rendement était alors prioritaire", indique-t-il.

A la fin des années 1970, un chercheur géorgien a tenté de sélectionner une espèce non toxique à l'Institut du Fourrage, près de Moscou.

Peine perdue. "Dès que le taux des substances toxiques baissait, la fertilité baissait aussi, et nous avons arrêté", raconte à l'AFP une ex-collaboratrice de l'Institut, qui a gardé pendant des années des traces de brûlures aux mains.

Depuis 1980, les régions commencent à se débarrasser des géants dangereux, les tracteurs montent à l'assaut de champs entiers qui sont rasés sans pitié.

Trop tard. Le borchtchevik est partout. En dehors des champs, il ne peut être éradiqué que par des agents chimiques, trop chers.

Les titres des journaux sonnent comme des communiqués de défaite. "Le borchtchevik envahit les rues de Syktyvkar" (Nord), "Aucune résistance au borchtchevik à Velikye Louki" (Ouest), "Mourom (Est de Moscou) assaillie". Et enfin: "Le monstre échappé des champs déjà à Moscou", constate le quotidien Tribouna.

Staline, plantes qui brulent...oula : la STANILOPLANTE debarque !
De plus en tapant borchtchevik sur le grand G on trouve vraiment pas gd chose, et les résultats sont des reprises plus ou moins texto de l'article en question !
Plusieurs cannettes plus tard je n'ai plus de doutes, la staniloplante existe, et elle envahi aussi les US !
Heracleum mantegazzianum (Giant Hogweed) ou (j'ai pas reussi a charger la page ce matin) la page en cache de Google.

Voisins, amis et passants, à vos secateurs !